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Sept à huit sur TF1 : Le sommaire du dimanche 3 mars

Sept a HuitCe dimanche à 17h45 sur TF1, Harry Roselmack présentera  un nouveau numéro de Sept à Huit. Au programme de ce nouveau numéro :

PETITS BOULOTS A LA NEIGE
C'est le deuxième hiver qu'elle passe à 2 500m d'altitude. Laurianne Montorio, 24 ans, est serveuse dans un restaurant sur les pistes de Val d'Isère. Salaire : 1400 € par mois. Comme elle, chaque hiver, 200.000 saisonniers viennent travailler dans les stations de ski. Pour eux, se loger à prix raisonnable est souvent un casse-tête. Co-location entre collègues de travail, nuits passées en camping-car, ou squat illégal d'immeubles inoccupés... Mathieu Benoist et Maxime Liogier sont partis à la rencontre de ces galériens de l'hiver.

LE DERNIER RECOURS
A 23 ans, Céline pèse 120 kilos. Pour en finir avec l'obésité, elle a choisi une solution radicale : le by-pass, une intervention sous anesthésie générale qui consiste à se faire couper l'estomac en deux. En France, en 2011, 30.000 personnes ont subi ce type d'opérations, deux fois plus qu'il y a 5 ans. Avec un estomac 20 fois moins gros, les patients espèrent perdre de 50 à 80 kilos. Mais cette intervention est-elle aussi miraculeuse qu'il n'y paraît ? A quoi ressemble la vie quotidienne des opérées ? Doivent-elles modifier leur régime alimentaire ? Un reportage de Stéphanie Davoigneau et Edouard Britsch.

TRENTE ANS DE SOUPCONS
D'un côté, Leonid Kameneff, 76 ans, un psychothérapeute créateur de l'Ecole en bateau, une aventure pédagogique alternative qui a fait rêver plusieurs générations de petits Français. De l'autre, dix anciens "élèves" qui affirment qu'à bord du Kerrek Ven, le voilier qui les accueillait pour faire le tour du monde, le capitaine et les autres adultes auraient abusé d'eux sexuellement. Léonid Kameneff nie les faits. Marie, qui a passé deux ans sur le bateau, est, elle, catégorique : des enfants, dont elle, ont été violés. Marie, 46 ans aujourd'hui, a été la première à porter plainte en 1994, plusieurs années après avoir quitté le bateau. Le début d'une procédure judiciaire hors norme par sa lenteur : elle va durer 20 ans. Myriam Alma et Edouard Britsch ont retrouvé d'anciens élèves, ceux qui accablent "Léo", mais aussi ceux qui le défendent.

LA VILLE EMPOISONNEE
Janna, une Russe de 40 ans sait depuis peu qu'elle souffre d'un cancer, comme beaucoup de ses voisins de Tchapaevsk, à 650 km de Moscou. Parmi eux, les enfants sont les plus touchés. Malformations, retards mentaux : le nombre d'enfants qui naissent avec des maladies est deux fois plus important que dans le reste de la Russie. Tous ces malades vivent autour des ruines de l'usine 102. Pendant des décennies, dans le plus grand secret, cette usine  a produit des armes chimiques, dont le fameux gaz moutarde. Il y a 20 ans, l'usine a été fermée, mais les produits hautement toxiques sont restés. Officiellement, les environs de l'usine sont inhabitables, mais faute de moyen les habitants sont toujours là. Un héritage soviétique ingérable, des autorités réticentes à communiquer, des habitants résignés... Emilie Blanc et Pascal Agostini sont partis à la découverte d'une ville empoisonnée.

JURASSIQUE PARC
Cent kilos de muscles, une langue jaune et fourchue, une démarche qui rappelle celle des dinosaures... le dragon de Komodo est le plus grand varan au monde, un prédateur hérité de la préhistoire qu'on ne trouve plus que dans un archipel indonésien. Chaque année, des milliers de visiteurs en quête de grands frissons se bousculent pour observer les 4000 spécimens qui vivent en liberté à Komodo. Des varans qui n'ont rien d'une attraction touristique pour les  habitants des villages de l'île : les dragons rôdent autour des maisons, s'attaquent au bétail et s'introduisent jusque dans la cour de récréation de l'école. Il y a quelques mois, l'un d'eux a même tué un enfant. Jérémie Drieu et Mathias Denizo se sont risqués dans ce village cerné par les varans.

SANS ISSUE
Le 8 février 2011, Jonathan, un lycéen de 16 ans, s'aspergeait d'alcool à brûler et s'immolait par le feu. Jonathan a survécu. Brûlé à 65%, après trois mois de coma, deux ans d'hospitalisation et quinze opérations, il garde des séquelles irréversibles. S'il a voulu mettre fin à ses jours, c'est qu'il subissait un harcèlement à l'école depuis ses 11 ans, dira-t-il. Insultes, coups et racket, jusqu'à ces ultimes menaces proférées selon lui par ses agresseurs : ils auraient voulu s'en prendre à sa famille s'il n'apportait pas de l'argent. Même si son ancien lycée refuse de reconnaître les accusations de harcèlement, Jonathan se présente comme une victime de ce phénomène préoccupant : le harcèlement à l'école, qui amène régulièrement des jeunes à mettre fin à leurs jours. C'est le portrait de la semaine, par Thierry Demaizière et Léo Monnet.

 

Crédit photo : Christophe Chevalin / TF1  

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