Par Sarah
Xavier de Moulins présentera ce dimanche à 17h20 un nouveau numéro du magazine "66 Minutes" sur M6 dont le sommaire sera le suivant :
Guillaume Bats : handiquoi ?
Un sujet de Julie Mamou Mani (C. Productions)
Guillaume Bats, 26 ans, c’est l’humoriste qui monte dans les salles parisiennes. Un petit bonhomme tout cabossé, atteint de la maladie des os de verre et qui pourtant arpente la scène avec une énergie débordante. Avec un humour noir et beaucoup de cynisme, il s’attaque à son handicap, son mètre quarante et son physique « original » comme il aime le définir. Car Guillaume Bats refuse de s’apitoyer sur son sort. Alors avec ses phrases bien ciselées, il se donne un malin plaisir à heurter les préjugés des spectateurs. Cette force de vie, il l’a puisée dans son enfance. Abandonné à la naissance, il va connaître plusieurs familles d’accueil avant de trouver la bonne, à Montmirail dans un petit village de la Marne. C’est là aussi qu’il fait ses premiers pas sur la scène de la MJC, encouragé par un professeur de théâtre qui détecte un vrai talent chez ce drôle de petit bonhomme.
A 20 ans, il décide de monter à Paris pour se consacrer à la scène. Il lui a fallu 3 ans pour percer : avec son complice Jeremy Ferrari, il fait quelques apparitions dans une émission de télévision. C’est le début du succès. Mais aujourd’hui, il souhaite consacrer de moins en moins de sketchs à son handicap et devenir un humoriste « comme un autre ».
La guerre des pousse-pousse
Un sujet de Marie Alix Brucker (Cartel Presse)
Dans les rues de Paris et des grandes villes de France, ils font fureur. Chaque jour, une centaine de pousse- pousse slalome dans les embouteillages de la capitale. Et leur nombre ne cesse de s'accroître. Idéaux pour fuir la foule du métro et les chauffeurs de taxi parfois un peu trop râleurs, ces vélos très branchés permettent de mieux se faufiler dans le trafic et font chaque jour le bonheur de centaines de touristes, ravis de découvrir Paris sous un autre jour. Un bon plan pour les amateurs de balades originales, mais surtout pour ceux qui les pilotent. En effet, conduire un vélo-taxi est un petit boulot qui peut rapporter gros. Plus de deux cents euros par jour pour les meilleurs pédaleurs. Du coup, ces vélos-taxis sont au cœur d’une étonnante bagarre, des Champs-Elysées à Notre Dame, en passant par la Tour Eiffel. Tout est bon pour alpaguer le client. Une lutte commerciale qui ne cesse de se durcir depuis l’arrivée de poussepousses "pirates", souvent conduits par des Bulgares.
Itinéraire d'un cannibale
Un sujet d'Alexis de la Fontaine et Sylvain Pierron (Capa)
Le 15 novembre dernier, le village de Nouilhan dans les Hautes-Pyrénées se réveille sous le choc. Léopold Pédébidau, un agriculteur de 90 ans, a été assassiné chez lui à coups de barre de fer... Mais l'horreur ne s'arrête pas là : son meurtrier a découpé sa langue et son cœur, pour les manger. Les gendarmes découvriront les restes de Léopold Pédébidau dans une casserole, avec des haricots tarbais. Le meurtrier est très vite interpellé par les gendarmes. Il s'appelle Jérémy Rimbaud, il a 26 ans. C'est un jeune homme apparemment sans histoire, sportif, qui après 5 années dans l’armée, vient de quitter son régiment basé à Poitiers. Mais l'enquête va montrer que Jérémy souffre de "stress post traumatique". Envoyé en Afghanistan, le jeune homme en serait revenu traumatisé. Quel rôle son séjour dans ce pays a-t-il pu jouer dans le drame? Nous avons retrouvé l'ex petite amie du cannibale, Marie, qui témoigne pour la première fois. Elle nous raconte comment Jérémy a basculé après son retour d'Afghanistan.
Les fous du volant à Dubaï
Un sujet de Edouard Mounier (Ligne de Front)
Maserati, Porsche, Ferrari... Dans les rues de Dubaï, on ne compte plus les voitures de luxe. C’est ici qu’on en trouve la plus grande concentration au monde. Aux Emirats Arabes Unis, le niveau de vie est deux fois plus élevé qu’en France mais les distractions sont rares. Alors ces bolides sont devenus la principale passion de la jeunesse dorée... Une passion qui vire au délire. Moteurs « gonflés » à plus de 800 chevaux, véhicules alimentés au kérosène, les jeunes sont prêts à tout pour remporter une « street race », une course sauvage organisée sur les autoroutes qui traversent la ville. Résultat : à Dubaï, la mortalité routière est presque deux fois plus élevée qu'en France. Alors la police a décidé de répliquer: pour dissuader les chauffards, elle s’est dotée de Ferrari et de Lamborghini. Mais cela ne suffit pas...
Crédit photo : Aurélien Faidy / M6
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