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"Here and Now", nouvelle série avec Holly Hunter et Tim Robbins à découvrir 24H après les USA dès ce soir sur OCS city (vidéo)

Here and Now (Crédit photo : HBO)

Here and Now (Crédit photo : HBO)

Dès ce soir, tous les lundis à 20h50 et 24H après les Etats-Unis, OCS city proposera à ses abonnés de découvrir la première saison (10 épisodes de 52 minutes) de "Here and Now", une nouvelle série  créée par Alan Ball et avec Holly Hunter (Audrey Bayer-Boatwrights), Tim Robbins (Greg Bayer-Boatwrights),Sosie Bacon (Kristen Bayer-Boatwrights), Jerrika Hinton (Ashley Bayer-Boatwrights), Daniel Zovatto (Ramon Bayer-Boatwrights), Raymond Lee (Duc Bayer-Boatwrights), Peter Macdissi (Farid Shokrani) …

Greg Bayer-Boatwrights (Tim Robbins), professeur de philosophie respecté, fête ses 60 ans. Sa femme, Audrey (Holly Hunter), veut que la fête soit parfaite, à l’image de sa grande et belle famille. Consultante en résolution de conflit pour le lycée local, elle a consacré sa vie à ses quatre enfants, dont trois ont été adoptés. Il y a Ashley (Jerrika Hinton), patronne à succès d’un site internet de mode née au Libéria, Ramon (Daniel Zovatto), jeune créateur d’un jeu vidéo, né en Colombie et Duc (Raymond Lee), riche coach pour patients en mal de confiance en eux né au Vietnam. Leur petite soeur Kristen, seule enfant biologique du couple, a 17 ans et cherche l’amour.

Sauf qu’en réalité, le clan Greg Bayer- Boatwrights est loin d’être parfait. Le patriarche, en pleine dépression, trompe sa femme avec une prostituée et préfère la compagnie de ses élèves à celle de ses enfants. Son épouse a la sensation de ne pas avoir vécu et se sent inutile. Ashley, lassée par son couple, est prête à le mettre en danger. Duc se bat contre un traumatisme d’enfance. Kristen s’entiche des mauvaises personnes et Ramon, sujet à des hallucinations, développe une obsession pour les chiffres 11:11 qui le rendent fou.

Alors que la famille au complet est en pleine crise existentielle, chacun se questionne sur son rapport à la différence de l’autre et à ses propres différences. Le magnifique modèle de famille multiraciale, que Duc et Ashley considèrent comme « une vitrine servant à leur parents pour prouver qu’ils sont progressistes » n’est pas si solide que ça.

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