Par Jeremy
Léa Salamé et toute l’équipe de l'émission reviennent tous les lundis en deuxième partie de soiréesur France 2, pour célébrer le beau, le rock, les icônes, le populaire et toutes les composantes de la culture. Bref, pour éclairer l’art de façon… stupéfiante.
Toujours autant d'enquêtes fouillées, de portraits acérés et de découvertes étonnantes. On retrouve Loïc Prigent et sa « Brigade du Stup », et, bien entendu, Léa Salamé à la rencontre d'un ou plusieurs artistes.
Mais, pour aller plus loin, deux nouveautés cette année : Stupéfiant ! décline chaque semaine un thème unique, et sort de son studio pour investir les lieux qui font l’actualité.
Cette semaine, Stupéfiant ! vous proposera de retrouver cinq artistes qui ont tous marqué leur époque et révolutionné leur art… Des artistes tous devenus des immortels !
A l’origine de Warhol – Par Guillaume Auda
Andy Warhol est mort il y a un peu plus de 30 ans…On croyait tout connaître de lui. Ses portraits de Marilyn ou Mao, sa théorie sur les 15 minutes de célébrité, ses égéries, sa Factory... Pour comprendre son art, nous sommes remontés à ses origines, à Pittsburgh.
Rodin confidentiel – Par Elise Le Bivic
Auguste Rodin, c’est le père de la sculpture moderne, Il avait la main agile, mais aussi très baladeuse… Rodin était un coquin, obsédé par le sexe… Stupéfiant ! dresse le portrait de ce Rodin confidentiel.
Brigade du Stup : Gustav Klimt – Par Loic Prigent
Gustave Klimt est mort il y a 100 ans tout juste. Le peintre symboliste autrichien a laissé une œuvre considérable. On connait tous le fameux baiser ou le portrait d’Adèle Bloch Bauer… Ce que l’on sait moins c’est qu’une famille l’a collectionné compulsivement.
On a retrouvé le piano de Lennon – Par Saskia Weber
On connait tous la mélodie d’Imagine, le premier tube solo de John Lennon, son éternel hymne à la paix. L’ex-Beatles l’a composé en 1971, sur son piano, un vieux Steinway. Des années plus tard, ce piano a été vendu aux enchères 2 millions d’euros, avant de disparaître. Stupéfiant ! l’a retrouvé…
Sur les traces de Gauguin, en Polynésie – Par Julien Beau
Direction la « maison du jouir ». C’est ainsi que Paul Gauguin avait surnommé sa maison en Polynésie. Le peintre avait fui l’Europe pour passer les 10 dernières années de sa vie à Tahiti puis aux Marquises. Il y a réalisé ses plus beaux chefs-d’œuvre mais y a laissé une très mauvaise réputation…
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