"Crac Crac" de retour dès ce vendredi en podcast avec Monsieur Poulpe

Après « CRAC CRAC » premier magazine abordant nos sexualités de manière décomplexée, imaginé et présenté par Monsieur Poulpe; après « Monsieur POULPE fait CRAC CRAC avec ses ami.e.s », le gala qui a rempli et enchanté BOBINO en février dernier ; CRAC CRAC devient dès ce vendredi sur MyCanal et les plateformes de podcasts une collection de podcasts bi-mensuels.

Animateur-créateur historique de l'univers CRAC CRAC, Monsieur Poulpe sera épaulé dans ce programme sex-positif par deux piliers de l'émission : Camille Emmanuelle, journaliste, auteure et spécialiste des questions de sexualité(s), co-animera le podcast et partira en reportage immersif. Quant à Maxime Donzel, il sera présent à chaque épisode pour une chronique au ton pop porn dont il a le secret : "Culture Bite".

Du sérieux donc, et du rire aussi. Pour parler librement de sexe, avec bienveillance, curiosité et humour.

Chaque podcast abordera une thématique comme sexe et spiritualité, sexe et argent, sexe et sentiments… avec des invité.e.s « sexperts » et des guests concerné.e.s, le tout ponctué de rubriques colorées.

CRAC CRAC le podcast aura à cœur d’exploiter la richesse sonore à laquelle le sujet de la sexualité invite. Ne dit-on pas que l’oreille est la zone érogène la plus puissante ?

Ecoutez le podcast CRAC CRAC et venez faire tympan cul cul, avec vos écouteurs sur vos oreilles, les yeux bandés, et le reste tout autant.

Au menu de l’épisode 1 : Sexe & Spiritualité
Le podcast CRAC CRAC commence en fanfare avec une émission sur LA tendance sexe et féministe d’aujourd’hui : sorcières, chamanisme, sexualité sacrée... En 2020 le sexe sera spirituel ou ne sera pas ! Du best-seller de Mona Chollet Sorcières aux cercles de femmes et la méditation orgasmique, on s'interrogera avec les deux invités Misungui Bordelle et Angelo Foley sur ces nouvelles figures et pratiques qui ont fait irruption dans nos sexualités. Simple passade ou vraie tendance durable? Faut-il être plus à l'écoute de son corps et de ses émotions que de son gynéco ou de son psy? Au-delà des délires new age, y a-t-il là une véritable question politique de réappropriation de son corps et de sexualité? Et puis surtout : comment jeter un bon sort sexuel?