Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Cap sur le fleuve rouge dans « Au bout c’est la mer » avec François Pécheux ce soir sur France 5

Cap sur le fleuve rouge dans « Au bout c’est la mer » avec François Pécheux ce soir sur France 5

Du mardi 11 août au mardi 25 août, France 5 diffuse chaque mardi à 20h50 un épisode inédit de la saison 3 de la collection documentaire "Au bout c'est la mer" incarnée par François Pécheux. A 21h45, France 5 rediffuse un épisode des saisons précédentes.

Le fleuve rouge, l'Irrawaddy, la Garonne, sur tous les continents, il existe des fleuves mythiques, de véritables appels à prendre le large. Ils sont la source des plus grandes civilisations, le refuge de peuples oubliés, un poumon économique et culturel, et de merveilleux  éco-systèmes.

François Pécheux part descendre ces fleuves jusqu’à l’embouchure, à la rencontre de tous ceux qui vivent sur leurs rives ou sur l’eau. Tous racontent une histoire du fleuve. Baroudeur curieux, il embarque sur tout ce qui flotte, prêt à faire escale à tout moment. Et il n’a qu’une seule certitude : au bout c’est la mer…

À 20.50 > AU BOUT C’EST LA MER : LE FLEUVE ROUGE
Pour ce nouvel épisode de « Au bout c’est la mer », François Pécheux nous fait découvrir le Fleuve Rouge au Vietnam.

Son voyage commence au Nord du pays, au  lac Quỳnh Nhai, un endroit majestueux qu’on appelle là-bas la baie d’Along du Nord. Il y rencontre Wan, une jeune femme de l’ethnie des Thaï Blancs, qui est partie à la recherche de son buffle pour travailler aux champs.

La descente du fleuve se poursuit à la rencontre d’étranges embarcations géantes, sur trois niveaux ! Entre arche de Noé, supérette du fleuve et auberge, ces bateaux descendent le fleuve à la rencontre de ses habitants. Sur les berges, marchés après marchés, les commerçants de ces embarcations aux allures de "Mad Max" posent leurs stands, pour vendre leurs produits juste pour quelques heures, avant de remonter à bord, pour continuer  à descendre le fleuve.

François se fond dans cette ambiance joyeuse avec enthousiasme. L’arrivée sur Hanoï à bord d’une barge remplie de sable vient confirmer l’énorme activité industrielle du fleuve. Pour se poser un peu, il découvre l’existence d’une petite communauté de nudistes, habitants du centre-ville d’Hanoï. Ils s’adonnent à leur passe-temps favori, la baignade dans le plus simple appareil au cœur du centre-ville, et, cela, sans aucune crainte des autorités. Après Hanoï, le delta prend forme, et au bout de 600 kilomètres sur le fleuve, la mer est toute proche. François va finir son voyage dans la Baie d’Halong, la merveille du Fleuve Rouge, et sans doute l’une des embouchures les plus majestueuses et visitées au monde.

À 21.45 > AU BOUT C’EST LA MER : MAGDALENA
Direction le fleuve Rio Magdalena en Colombie pour François Pécheux. Départ sportif en rafting pour rejoindre la ville de Honda où il découvre le Tejo, une sorte de pétanque explosive, un jeu que pratiquent les colombiens. Dans cette même ville,  François est initié à une pêche dangereuse qui se pratique au filet, dans les courants du fleuve.

Au cours de son voyage, il rencontre Lorena, fabricante de Panela, qui l’emmène visiter son exploitation. Il participe à la fabrication de la panela qui occupe une place très importante dans l’alimentation colombienne.

En bateau, François fait escale à Mompox, citée autrefois connue pour ses vendeurs d’or. Il y croise le seul gros bateau de transport qui navigue sur cette portion du fleuve. Ensuite, direction le village flottant de Nueva Venecia, où la vie semble filer doucement. Au petit matin, il accompagne un porteur d’eau qui rapporte sur sa barque, chaque jour, de l'eau pour toutes les familles du village...
Après avoir marché sur une longue digue, son voyage se termine par la rencontre avec un pêcheur optimiste malgré le vent qui se déchaîne. Une longue marche mais qui en vaut la peine car au bout…c’est la Mer !

Crédit photo : Stéphane Jobert

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article