Par Sarah
Vous pensiez tout connaître des lieux maudits, théâtres de vieilles légendes appartenant au passé ? La case "Au coeur de l'étrange" va vous démontrer le contraire ce mercredi à partir de 21h05 sur W9.
Pourtant, vous ne le savez pas, mais là où vous vivez, là où vous partez en vacances, là où vous sortez vous amuser, partout autour de vous, des lieux qui vous sont familiers peuvent être frappés par des malédictions. Inexplicables, même en 2021.
Les habitants de la rue Erlanger par exemple, n’avaient probablement jamais pris conscience des terribles risques qu’ils encouraient potentiellement en vivant dans ce petit coin tranquille du XVIe arrondissement à Paris. Jusqu’à cette sombre nuit du 4 février 2019. Un incendie d’une violence inouïe ravage l’immeuble situé au n°17 bis. Le bâtiment, situé à l'arrière d'une cour, est inaccessible aux camions de pompiers : dix personnes vont perdre la vie dans les flammes. À l’origine du drame : une quadragénaire à la santé mentale fragile, cherchant à se venger après un conflit entre voisins.
Il aurait pu s’agir d’un fait divers parmi tant d’autres, seulement, en y regardant de plus près, tout laisse à penser qu’une malédiction s’abat sur la rue Erlanger depuis 40 ans. C’est au n°6 de la rue que le chanteur à succès Mike Brant se donna la mort en avril 1975.
Quatre numéros plus loin, au n°10, eut lieu l’un des crimes les plus sordides de la capitale : Issei Sagawa, dit « le Japonais cannibale » tua et dévora sa colocataire, Renée Hartelvet en 1981. Alors, comment expliquer une telle succession d’horreurs ? Bienvenue au cœur de l’étrange.
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