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Picasso à l’honneur sur Europe 1

A l'occasion de la Grande exposition « Picasso et les maitres » qui se déroulera dans trois lieux différents du 8 octobre 2008 au 02 février 2009, Europe 1, partenaire de cette exposition, proposera à ses auditeurs une semaine spéciale à l’un des plus grands peintres contemporains avec entre autre trois émissions exceptionnelles en direct du Grand Palais.

Le dimanche 5 octobre, Pierre-Louis Basse, 3 jours avant l'ouverture au public, sera au cœur de l’exposition de 12h00 à 14h00 pour « Faites comme chez vous ». Il recevra Anne Baldassari, directrice du musée Picasso à Paris, Pierre Daix, journaliste, écrivain et ami de Picasso, Daniel Lelong, galeriste et Fabrice Bousteau, directeur de la rédaction de Beaux Arts magazine, Ernest Pignon Ernest, peintre et Jean Ristat, poète et écrivain.

Le mardi 7 octobre, Marie Drucker et Patrick Cohen s’installeront pour le vernissage de l’exposition et recevront leurs invités.

Le vendredi 10 octobre, entre 9h30 et 11h00, Olivier Picasso, petit fils du célèbre peintre et Frédéric Taddéï seront les invités de Michel Drucker.

A noter aussi que le mercredi 8 octobre, jour de l’ouverture de l’exposition au public, Marc-Olivier Fogiel recevra à 8h50 dans « Forcément sur Europe 1 » Maya Picasso, fille de Pablo Picasso.

Enfin, dans les journaux des lundi 6, mardi 7 et mercredi 8 octobre entre 7h00 et 8h00 Françoise Gaujour présentera aux auditeurs LE tableau qu’il ne faut pas rater dans les 3 lieux d’exposition : le musée d’Orsay, le Louvre et le Grand Palais.

Crédit photo : Europe 1 / DR
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C
"Picasso serait aujourd’hui dans le désespoir quant à son œuvre. Il juge qu’il s’est trompé de route, que le cubisme est une impasse et ne peut mener à rien. Il regrette de n’avoir pas suivi sa première voie et considère comme néant tout ce qu’il a fait." Paul Léautaud - Le Journal littéraire.<br /> La démarche cubiste de Picasso, qui a surtout mené à des résultats hautement lucratifs, peut aussi être considérée sur le plan esthétique comme nulle, ainsi que la plupart de ce qu'a produit cette "libération des moeurs et des esprits" flamboyant dans l'entre deux guerres ; conséquence du supplément de vanité tiré par l'homme de la révolution industrielle, aggravé du traumatisme qu'il s'est infligé par les deux conflits mondiaux qui l'ont suivi.<br /> Après avoir assisté à l'enflure dans tous les domaines, le soufflé retombe de nos jours, avec comme dommage majeur le naufrage de l'aristocratie. Cette aristocratie de l'esprit, par laquelle l'être le plus commun peut se distinguer de ses semblable en refusant la loi du nombre, adorateur du veau d'or, qui ne peut que mener à la médiocrité en tout : loisirs, arts, culture, affaires, cuisine, santé, politique, etc. C'est la contamination people galopante. C'est encore s'éloigner de cette aristocratie que d'enfourcher en tonitruant la première monture qui passe, pourvu que sa chevauchée provoque la surprise, et mieux encore, le scandale.<br /> Le dernier des jobards n'a qu'à suivre l'exemple de leaders, plus souvent activistes de l'enrichissement que compétents –bien qu'il arrive à certains de l'être, comme ce fut le cas de Picasso–, pour être l'égal des dieux. Le bonheur dans la gloire partagée ! (Avec le fric en prime pour les plus malins). Qu'importe qu'en soient dignes et surtout comprises les raisons.<br /> De grâce, ne confondons pas « peintre le plus célèbre" avec "peintre le plus grand" de son siècle. La célébrité s'achète –l'intérêt des grandes fortunes pour l'art en est la démonstration–, la grandeur non.
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