Par Sarah
Kev Adams, le clown des Ados
Il s’appelle Kev Adams, il a 19 ans et ses sketches font hurler de rire les adolescents. Au début de l’année, pendant deux mois, il a rempli la salle du Palais des Glaces à Paris. Les profs, les parents, les potes, Internet, la puberté : dans son spectacle, il défriche une terre jusque-là inexplorée par les comiques. Et ça cartonne auprès des teenagers. Certaines de ses répliques sont même devenues cultes chez les lycéens : « Trop d’ski tue le ski », c’est la réponse qu’il fait à sa prof d’histoire qui le questionne sur… Léon Trotski ! Repéré par Anne Roumanoff il y a trois ans après un petit rôle au cinéma et des castings sans lendemain, Kev Adams a été prié de passer « son bac d’abord » par ses parents avant de se jeter dans le grand bain du one-man-show. Portrait de la nouvelle coqueluche des cours de récré.
Une décharge devant mon pavillon
Ils avaient choisi de vivre au vert, à 40 minutes seulement de Paris. Le problème, c’est qu’en face de leur coquette maison de Limeil-Brévannes, est apparue une incroyable montagne d’ordures : 25 mètres de haut sur plus de 200 mètres de long. Cet amoncellement est le produit d’un site de transit de déchets qui a brutalement cessé ses activités en novembre dernier. Depuis dix mois, le « patron voyou » et les collectivités locales se renvoient la balle pour déblayer. En attendant, à cause des incendies et des émanations nauséabondes, le tas d’ordures a pris l’aspect d’un volcan fumant sous les fenêtres des riverains. Ironie de l’histoire : juste à côté se bâtit un quartier écolo.
Promotion canapé à la RATP ?
À son bureau, on l’appelait le « roi » ou le « grand ». Gwen Eslan, 44 ans, ancien responsable syndical de la RATP, est accusé par certains de ses collègues d’avoir abusé de son pouvoir au point d’exiger des faveurs sexuelles en échange de promotions. Une jeune femme a même porté plainte cette semaine pour harcèlement sexuel et la justice a ouvert une enquête préliminaire. Gwen Eslan, qui avait débuté au bas de l’échelle comme agent de sécurité, s’était hissé à la tête du puissant syndicat UNSA. Selon ses détracteurs, il faisait régner un climat de terreur et usait de sa position pour exiger un droit de cuissage. À sa décharge, une enquête interne n’a rien donné et le syndicaliste explique qu’il s’agit d’un règlement de comptes entre anciens collègues.
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