Par Jeremy
Xavier de Moulins. présentera ce dimanche à 17h10 un nouveau numéro du magazine "66 Minutes" sur M6 dont le sommaire sera le suivant :
Main basse sur le paradis
Un sujet de Marwann Elias
À quelques encablures de Rio, Ihlia Grande et son archipel font partie des plus belles îles tropicales du monde. Un vrai paradis sur terre, sur lequel on n’a plus le droit de construire. Mais la
région est menacée par la voracité d’une poignée de millionnaires brésiliens. Sans autorisation, ils construisent de grandes demeures les pieds dans l’eau qui menacent le fragile équilibre
écologique des lieux. Bien que quelques-unes de ces propriétés aient été détruites devant les caméras de télé à titre d’exemple, le combat est loin d’être gagné. Les autorités ont en effet des
moyens dérisoires pour faire respecter la loi et ils ont affaire à des personnages puissants qui font jouer leurs relations.
Déco : la folie du mobilier industriel
Un sujet de Morgane Duliège
C’est l’histoire d’une vieille armoire de vestiaire rouillée qui, jadis, aurait fini à la décharge. Aujourd’hui, avec un peu de restauration, elle peut se vendre 1500 euros ! Idem pour des
tabourets métalliques hors d’âge, que les amateurs sont prêts à acheter 700 euros pièce. Cette mode du mobilier industriel dans la déco fait les délices de Stéphanie et Yvan, un couple de
brocanteur. Ils se sont spécialisés dans ces meubles, qu’ils vont chiner dans les hangars d’usines désaffectées et restaurent. L’engouement est tel que certains modèles de fauteuils ou de lampes
d’atelier sont devenus « collector », à tel point qu’ils sont copiés. Comment ne pas se faire avoir ?
Epouse meurtrière ou erreur judiciaire ?
Un sujet de Clément Brelet
Condamnée à trois reprises pour le meurtre du son mari, Edwige Alessandri va-t-elle finalement être innocentée? Elle a toujours clamé que son mari avait été tué chez lui dans la nuit du 16
juillet 2000 par des intrus. Mais cette thèse d’un cambriolage qui aurait mal tourné n’a jamais convaincu les enquêteurs. Le couple qu’Edwige formait avec son époux, tous les deux propriétaires
d’un prospère supermarché dans le Vaucluse, battait de l’aile et aucune trace n’a été laissée par d’éventuels visiteurs nocturnes. Surtout l’un des fils de la famille a dénoncé sa mère devant les
enquêteurs avant de se rétracter. Alors qu’Edwige Alessandri a passé cinq ans derrière les barreaux, de nouveaux éléments apparaissent. L’analyse ADN de mégots retrouvés dans le jardin ont fini
par désigner un homme condamné à plusieurs reprises pour cambriolage. Et un témoin assure avoir recueilli les confidences d’un membre de la communauté du voyage. L’affaire Alessandri cache-telle
une erreur judiciaire?
À vendre : nourriture avariée
Un sujet de Rym Khalifa
Une maman qui revend les boites de conserves qu’elle a récupérées aux Restos du Coeur, un jeune homme qui écoule les aliments qu’il a chapardés dans une supérette, une vieille dame qui gagne sa
vie avec la nourriture trouvée au fond des poubelles. On pourrait croire ces scènes réservées aux bidonvilles de Rio ou Calcutta. Mais elles se passent en France, au coeur des grandes villes. La
misère a généré un commerce alimentaire digne du Tiers Monde : steaks proposés à la vente sur le trottoir ou yaourts exposés en plein soleil. Enquête sur le marché de l’ultra-pauvreté.
Crédit photo : Aurélien Faidy / M6
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