Deux nouvelles spéciales de "L'effet papillon" les 10 & 17 juin

04.06.2007

Les dimanches 10 et 17 juin, en raison des élections législatives, le magazine Dimanche + laissera sa place à deux éditions spéciales de "L'effet papillon" de 52 minutes sur Canal +.

Comme lors des élections présidentielles, Victor Robert prendra de la distance avec l’actu politique hexagonale pour s’envoler vers des contrées bien plus lointaines lors de ces deux tours d'élections…

Entièrement consacrées à l’actu internationale, ces deux spéciales proposent chacune quatre reportages tournés à l’étranger et plusieurs rubriques pour prendre le pouls de la planète.

Au sommaire du dimanche 10 juin 2007

Kirghistan
Un sujet de Hugo Van Offel
Si vous êtes un cinéaste fauché et que vous cherchez un décor naturel pour filmer l’apocalypse, c’est le spot idéal. Dans cette vallée radioactive du Kirghistan bourrée d’uranium, ils sont des milliers à creuser pour récupérer les restes de nickel d’une immense usine d’ampoules électriques…

Kasparov
Un sujet de Jérôme Fritel et Cyril Thomas
C’est l’histoire d’un ancien champion du monde d’échecs qui cherche sa place sur l’échiquier politique russe. Objectif pour Garry Kasparov, l’élection présidentielle 2008 : une partie redoutable, car pour Vladimir Poutine, tous les coups sont permis.

Chavez
Un sujet d’Anthony Orliange et de Jean-Michel Garcia
Que diraient les Français si le gouvernement décidait de supprimer une chaîne hertzienne ? C’est exactement ce qui se passe au Venezuela où le surprenant président Hugo Chavez a décidé de fermer la chaîne la plus populaire du pays. Problème : les millions de téléspectateurs avides de séries et autres talk-show sont descendus dans la rue : pas question de les priver de leur temps de cerveau disponible.

Les Guatémaltèques américains
Un sujet de Thomas Zribi
L’Amérique, tu la quittes même si tu l’aimes… Des milliers de guatémaltèques réfugiés aux Etats-Unis pour échapper aux violences sont menacés d’expulsion. Les autorités américaines ont mis plus de dix ans à rejeter leurs demandes d’asile politique. Entre temps, les réfugiés sont devenus de bons Américains.

Source : Canal +
Crédit photo : Canal + / Maxime Bruno