Par Jeremy
Nique Bill, Les visiteuses, Anus beauté, Bienvenue chez les ch'tites
coquines... On a tous en tête un titre de parodie X. Comme un bon mot, une blague de bureau ou une plaisanterie potache répétés à l’envie.
Sans même, bien souvent, qu’on ait vu la moindre image des pastiches en question. C’est que le porno, dès sa naissance, s’est fait une spécialité de détourner – en les pimentant largement – les
succès de son grand frère "traditionnel". C’est même devenu un genre en soi. A titre d’exemple, la très selecte société Private – la seule porn company à être cotée au Nasdaq – affiche dans son
catalogue une section spéciale "parody movies"… qui compte plus de cent titres !
A quoi tient ce goût du X pour le détournement ? Pourquoi les pornocrates, qu’ils œuvrent à Boulogne, Milan ou San Fernando, jouent-ils à répétition la même farce au "vrai" cinéma ? Qu’en pensent
les "victimes" ?
Peut-on garder le sourire, si l'on est réalisateur, en voyant ses Tontons Flingueurs devenir des... Tonstons Tringleurs ? Y a-t-il eu des poursuites, des plaintes, des duels au petit matin, une
jurisprudence ?
Pour répondre à ces questions, Canal+ diffusera le samedi 5 juin à 22h20 "Ca glisse au pays des merveilles" un documentaire d'Olivier Ghis qui invitera ainsi ses abonnés à faire un voyage –
amusé, curieux et forcément poilant – sur les terres peu courues des parodies X.
L'actualité quotidienne de la télévision et de la radio depuis plus de 15 ans ! - Hébergé par Overblog