Par Sarah
Personne n'a oublié ces images du GIGN prenant d'assaut l'avion d'Air France détourné par des terroristes en 1994. Mais derrière ce fait d'arme se cachent bien d'autres missions souvent ignorées
du grand public : arrestation de délinquants surarmés, interception de « go fast », ces voitures lancées à grande vitesse qui transportent des centaines de kilos de drogue, protection de
l'Ambassadeur de France dans des pays en guerre, etc. Quand le danger devient trop grand, la gendarmerie fait appel à son unité d'élite : le GIGN. 400 hommes et femmes triés sur le volet prêts à
risquer leur vie à chaque mission.
Adepte du culte du secret, cette unité d'élite a permis à Zone Interdite de suivre ses missions les plus périlleuses pendant plus d'un an. Jamais une équipe de télévision n'a pu suivre d'aussi
près ces super-gendarmes en opération !
Sauvetage de l'épouse d'un banquier kidnappée et menacée de mort contre une rançon, démantèlement d'un réseau de trafic de drogue en plein Festival de Cannes, arrestation de délinquants armés de
kalachnikovs, surveillance, filature : les gendarmes d'élite font face aux professionnels du grand banditisme. 24h/24, toujours en alerte, le GIGN est engagé sur plus de 200 missions par an.
Malgré les risques, ils étaient 120 gendarmes cette année à vouloir intégrer cette unité de forces spéciales. Footing interminable lesté d'un sac de 15 kilos, immersion dans un étang boueux en
plein hiver, épreuves de combats impitoyables... Rien n'est épargné aux candidats à ce corps d'élite. Sur les 120, seuls 7 d'entre eux seront retenus. Quelles sont les motivations de ces
super-gendarmes ? Comment construit-on une vie de famille dans ces conditions ? Combien sont payés ces hommes et ces femmes pour risquer leur vie à chaque mission ?
Crédit photo : Sébastien Dufour / M6
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