Par Jeremy
Aujourd’hui, vingt-six ans après la sortie du premier épisode,
Terminator c’est quatre films, une série télé, des jeux vidéo, un dessin animé, une attraction en 3D... Une saga devenue culte qui méritait bien une programmation événement, histoire de se
replonger dans l’univers implacable de Terminator.
Et c'est ce que proposera prochainement Canal+ à ses abonnés avec la diffusion des quatre films de la sage avec Terminator, Terminator 2 mle jugement dernier, Terminator 3 le soulèvement des
machines et Terminator Renaissance mais avec aussi la diffusion de "I’ll be back : la saga Terminator", un documentaire inédit de Didier Allouch :
Quand, dans le premier Terminator, Arnold Schwarzenegger lance “I’ll be back” (“Je reviendrai”) au policier derrière sa vitre, il ne croit pas si bien dire. Vingt-six ans après la sortie du
premier épisode, Terminator c’est quatre films, une série télé, des jeux vidéo, un dessin animé, une attraction en 3D… Bref, une véritable saga.
Le 26 octobre 1984, Terminator sort donc sur les écrans américains. Une petite sortie pour un film de science-fiction musclé, réalisé en dehors du système hollywoodien et dont personne n’attend
grand-chose. Pourtant, le second film d’un jeune metteur en scène alors inconnu, un certain James Cameron, va simplement tout changer. Tout changer dans le genre, d’abord...
Jusque-là, la science-fiction dans le cinéma américain, c’était soit des “space operas”, façon La guerre des étoiles, soit de la philosophie dans les étoiles, façon 2001, L’odyssée de l'espace.
Avec ce film, Hollywood constate que mêler science-fiction et action urbaine peut marcher.
Et comment ! Le film réalisera 80 millions de dollars de recettes pour un budget d’à peine 6,4 millions de dollars. Hollywood va alors s’engouffrer dans la brèche et la science-fiction d’action
devenir un genre à part entière.
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