Par Sarah
Ce soir à 20h40 Guy
Lagache proposera sur M6 Capital qui aura pour sujet "Arnaques, contrefaçons, économie parallèle : enquête sur la France des fraudeurs."
Faux SMS, piratage de votre ordinateur ou de votre carte bancaire, contrefaçons en tout genre : chaque jour, des centaines de milliers de Français sont victimes d’arnaques et de triches sans même
s’en apercevoir. Des fraudes qui peuvent coûter très cher aux particuliers mais aussi à… l’Etat. Fausses cartes vitales, déclarations ASSEDIC mensongères et surtout triche aux allocations :
les abus aux prestations sociales ont connu un fort essor ces dernières années. Conséquence : la France des combines ne s’est jamais aussi bien portée. L’an dernier, 90 milliards d'euros
sont tombés dans les poches de rois de l’arnaque et de réseaux parfois très organisés. Capital enquête sur ces business de l’ombre.
Pseudo-RMIstes, arrêts de travail bidon, fausses déclarations : des milliers de personnes vivraient aujourd’hui de la triche aux allocations. Des fraudes à la CAF ou aux ASSEDICS qui ont coûté 19
milliards d’euros à l’Etat et aux contribuables l’an dernier. Résultat, la traque aux tricheurs est lancée depuis quelques mois. Comment les enquêteurs de la CAF débusquent-ils les profiteurs ?
Comment certains parviennent-ils à passer malgré tout entre les mailles du filet ?
« C’est Marie, j’attends toujours que tu me rappelles au 089... ». Des SMS dans ce genre, vous en avez sans doute reçu sur votre portable dernièrement. On appelle ça du « ping call » ou du « call
back ». C’est l’une des arnaques les plus redoutables du moment. Des SMS ou des appels sans message qui n’ont qu’un objectif : vous faire rappeler. Rien à gagner mais beaucoup à perdre sauf pour
les escrocs à l’origine de ces combines qui peuvent rapporter des fortunes. Comment ont-ils eu votre numéro de portable ? Peut-on se protéger contre ces attaques ?
Château Lafitte, Cheval Blanc ou Mouton Rothschild. Des grands crus qui font rêver les français, grands amateurs de vins, mais aussi les fraudeurs… La contrefaçon de grands vins est un nouveau
business en plein essor. Entre le mauvais rouge vendu à prix d’or et les fausses étiquettes, chaque année les faux Bordeaux, Bourgogne et autre Champagnes rapporteraient plus de 200 millions
d’euros à des filières souvent très organisées. Comment ne pas se faire avoir quand on achète un vin d’exception pour une grande occasion ? Comment les domaines luttent-ils contre cette contrefaçon
?
Crédit photo : Cyril Bruneau / M6.
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