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Le magazine 66 minutes reviendra sur le nauffrage du Concordia le 4 mars


Le dimanche 4 mars, Aïda Touihri présentera à 18h40 sur M6 une spéciale du magazine "66 minutes" avec au sommaire "Naufrage du Concordia : révélations sur une nuit de cauchemar", un reportage de Morgane Courjeon et Sébastien Gilles.

Près de deux mois après le naufrage du Costa Concordia au large de la Toscane, de nouveaux récits de rescapés et des images inédites continuent d’affluer, apportant un nouvel éclairage sur cette catastrophe exceptionnelle.

Comment des vacanciers, que rien n’avait préparés à une telle tragédie, ont-ils réagi pendant le naufrage ? A quels choix cornéliens ont-ils été confrontés ? Nathalie et Patrick, par exemple, racontent comment, faute de canot de sauvetage, ils ont dû obliger leurs deux enfants à sauter à la mer et à nager jusqu’à la rive dans la pénombre. D’autres se souviennent avoir observé, au milieu de scènes depanique, le courage de certains et l’égoïsme d’autres. Un passager manque de faire tomber un bébé à l’eau pour prendre place à bord d’une chaloupe. Un autre passe devant une femme qui lui crie « je suis enceinte », il lui répond « Moi aussi ! «. Mais l’épreuve révèle aussi des héros, comme Mario Pellegrini, le maire adjoint de Giglio, sur l’île voisine, qui s’est immédiatement embarqué dans un canot pour secourir les rescapés.

Pour Brigitte et Alain, le cauchemar continue. Leur fille Mylène, 23 ans, et son compagnon Mickael, 25 ans, figurent parmi les 17 passagers dont on n’a pas retrouvé la trace. Ce couple de Sarcellois s’est rendu sur l’île de Giglio. Ils voulaient encore croire que Mylène et Mickael ont survécu, protégés dans une cabine étanche. Sur place, ils ont observé, fébriles, le ballet des plongeurs sous-marins italiens. Roberto est l’un d’entre eux. Lui a cessé d’espérer. Ce qu’il cherche dans l’épave ce sont des cadavres. Mais sa tâche est ardue, car dans les cabines, la moquette s’est détachée du sol et obstrue les portes. Roberto essaie aussi de comprendre comment empêcher le paquebot de cracher son lot de déchets et sa réserve de carburant dans la Méditerranée. La pollution, c’est aujourd’hui la principale préoccupation de la population de l’île.

Le document de 66Minutes révèle que les protocoles de sécurité qui s’appliquent à tous les bateaux de croisière auraient dû empêcher l’accident, s’il n’y avait eu l’erreur humaine. Car la tragédie du Costa- Concordia restera l’histoire d’un commandant qui semble avoir commis d'abord une erreur technique, puis une faute morale. Aujourd’hui, Francesco Schettino doit affronter devant la justice italienne les responsabilités qu’il a fuies il y a un mois.

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B
<br /> Un rêve qui tourne au cauchemar<br /> <br /> Mon mari me répétait souvent tu vas voir c'est comme la croisière s'amuse : vivre un grand rêve :<br /> <br /> J'ai vu des jeunes hommes d'une trentaine d'année, interdire l'accès de notre chaloupe à une femme et son enfant, repoussées des personnes âgées.<br /> <br /> Même dans les films on garde une certaine morale et l'on met en avance des scènes « les enfants d'abord, les personnes âgées et les personnes à mobilités.<br /> <br /> Incroyable mais vrai, les jeunes et les plus forts d'abord. Quelle horreur.<br /> <br /> Le bateau à légère basculer vers 21 h 15, je me trouvais au quatrième niveau du restaurant Roma, nos verres et assiettes ont glissé des tables qu'elle bruit de verres cassés, puis le bateau se<br /> redresse et notre serveur juste à côté de notre table nous dis en français, ne vous inquiéter pas, le bateau à du vouloir éviter un autre bateau, là j'ai pensé, quand vu du bruit, j'espère qu'on<br /> a pu l'éviter, sinon il doit être en miette.<br /> <br /> Puis là le bateau à pencher de nouveau et là attention.<br /> <br /> Tout a volé, vaisselles, meubles, chaises et les gens.<br /> <br /> J'entendais mon mari qui me dit ne t'affole pas, peut être une panne des stabilisateurs, je regarde sur ma droite, à l'étage en dessous de moi le niveau inférieur du restaurant<br /> <br /> Le spectacle était apocalyptique, des dizaines de gens entassés les uns sur les autres parmi le mobiliers les gens hurlaient se bousculais avais du mal à se mettre debout et essayais de fuir en<br /> empruntant la seule sortie, vers le centre du bateau.<br /> <br /> Danielle et Jacqueline nos convives durant cette semaine, elles sont parties en courant et se diriger vers la sortie principale du restaurant.<br /> <br /> Je dis à mon mari là s’est sérieux et il est hors de question que je rentre à l’intérieur du bateau.<br /> <br /> Et là les serveurs étaient aussi paniqués que nous des regards, puis ils décident d’ouvrir une porte de secours sur les côtés.<br /> <br /> Je me rassurai en voyant que je me trouvais au niveau des chaloupes.<br /> <br /> Puis les serveurs et cuisiniers des gens merveilleux, nous ouvres les armoires contenant des gilets de sauvetages.<br /> <br /> De notre côté nous n'avons pas subi le manque de gilet, une annonce est diffusé dans deux ou trois langues.<br /> Et enfin en français pour nous dire qu'il agissait d'une panne de moteur et que la situation était sous contrôle.<br /> <br /> Mon mari voulu me rassurer en me disant tu vois je te l'avais dit, je lui réponds je n'y crois pas, parce que s'il y a un problème ils ne vont pas nous l'annoncer comme ça.<br /> <br /> Puis coupure de courant, qui m'a semblé très long, la panique reprend les cris des questions que se passe t- il !<br /> <br /> J'essaye d'allumer les petites clignotant qu'il y a sur les gilets de sauvetage et là rien ça ne fonctionne pas.<br /> <br /> Nous étions à bord du bateau depuis le dimanche 8 janvier.<br /> <br /> Déjà nous n'avions pas pu embarquer à Marseille car il y avait trop mauvais temps, donc on nous transfère par autocar à Toulon.<br /> <br /> Nous sommes arrivés au bateau vers 19 h à savoir nous étions nombreux, il avait le rendez-vous dans un salon pour les Français de 17h à 18 h ou 17 h 30 à 18 h 30.<br /> <br /> Et bien leurs organisations au départ laissent à désirer, car ils n'ont pas eu l'idée d'adapter le rendez-vous d'information à notre arrivée.<br /> <br /> Le matin nous avons tenté d'obtenir des informations et pendant trois jours et plusieurs fois par jour nous n'avons jamais pu rencontrer auprès des deux bureaux d'informations à bord du bateau<br /> d'interlocuteur français, il y avait plusieurs nationalités et des interlocuteurs qui ne comprenaient rien à notre demande.<br /> <br /> Le mercredi nous rencontrons le responsables des voyageurs français, pas très aimable d'ailleurs pour nous renseigner comment organisés notre voyage et à notre demande nous organise une sortie<br /> pour la visite de Rome et puis il nous demande les cartes rouges qui se trouvaient sur notre lit à notre arrivée avec les cartes Costas.<br /> <br /> Visiblement ses cartes devaient avoir l’utilité en cas de problème à bord du bateau.<br /> <br /> Nous n’avons jamais eu en cinq jours le rendez-vous pour simuler une évacuation.<br /> <br /> Revenons à nos chaloupes, je me suis accrochée à une rambarde devant une chaloupe et ne voulais plus y bouger, j'étais terrifiée, puis le bateau à commencer à pencher sur le côté gauche et toutes<br /> les minutes un peu plus.<br /> <br /> Et toujours les mêmes informations remontées dans vos cabines allez dans les salons, nous avons un problème de panne électrique et tout est sous contrôles.<br /> <br /> D’attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre<br /> <br /> Mais le bateaux continu de pencher, là la sirène enfin retenti plusieurs coûts court et un coût long signifiant d'évacué le bateau.<br /> <br /> Et le personnel qui n'avait pas encore tous mis leurs bouées, les sont mis, puis enfin l'accès de la chaloupe fut ouvertes il y avait déjà beaucoup de mondes.<br /> <br /> Une fois l'embarquement des plus pressés nous avons vu qu'ils restaient 3 à 4 places et sommes montés à bord de la chaloupe et le bateau était sérieusement penché, car lorsque le lâche enfin ma<br /> barre j'ai beaucoup de mal à traverser jusqu'aux chaloupes sans glisser.<br /> Puis avons attendu très longtemps et les gens poussaient, plusieurs personnes sont arrivées pour montées à bord et là des cris de toutes parts et des personnes qui ne voulaient, pas laissez<br /> montés d'autres personnes et bien évidemment les derniers étaient des gens en difficulté ou avec des enfants ou à mobilité réduites ont été rejetées de la chaloupe.<br /> <br /> O bien sûr il y avait déjà beaucoup de personnes et plus de place assise, nous avions entre nos jambes des personnes assissent même le sol, car les personnes qui géraient la chaloupe criaient,<br /> ils faillaient que l'on soit tous assis.<br /> <br /> Ils m'ont pas pris le temps de fermer la porte de toile de la chaloupe, quand il a réussi à la décrocher une première phase après une chute brutale.<br /> <br /> Après, le canot est tombé d'un coup, de plusieurs étages,<br /> Des scènes qu'on ne voit que dans les films catastrophent, on se dit que ce n'est pas possible, que cela ne peut pas arriver, mais les gens se conduisent comme des bêtes.<br /> <br /> Une bonne frayeur et bien aucune information de ce qu'il allait se passer, puis ils sont encore criés, nous ne comprenions rien, puis une chute directe dans l'eau et une peur épouvantable.<br /> <br /> La personne qui conduisait la chaloupe ne savait pas, à trois reprise il nous a éloigné du bateau et rapproché du bateau.<br />
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