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Le sommaire de Sept à Huit de ce dimanche 22 août

Ce dimanche à 18h45 sur TF1, Harry Roselmack présentera  un nouveau numéro de Sept à Huit. Au programme de ce nouveau numéro :

 

Une vengeance implacable ?
Le 21 avril dernier, le corps de Bertrand Touchard est retrouvé dans la Saône. Ce chauffeur routier de 39 ans, divorcé, père de trois enfants a été assassiné. Sa voiture a disparu. Pour les enquêteurs, une première piste. Elle est rapidement retrouvée, accidentée, avec à son bord deux marginales, Claire Garcia et Nathalie Chatelot. Et cette dernière va passer aux aveux.
Elle affirme avoir invité Bertrand Touchard pour un apéritif, l'avoir drogué et frappé à coups de barre de fer et, avec l'aide de sa complice, s'être débarrassés de son corps dans la Saône.
Mais alors pourquoi les deux femmes auraient-elles  tué un homme qu'elles connaissaient à peine ?
Toujours selon Nathalie Chatelot, il s'agirait d'une vengeance. Cet homme l'aurait violée lorsqu'elle était adolescente...28 ans plus tôt !
Mais dit-elle toute la vérité ? Un reportage de Jérôme Dindar et Vincent Delmotte.

Vie de chateau
Il réalise un rêve fou : construire le premier vrai château médiéval aux Etats-Unis. Michel Guyot, un Français de 62 ans, qui vit dans le somptueux domaine de Saint Fargeau, en Bourgogne, est un immense passionné. Il y a quelques semaines, il a lancé l'inauguration de son château médiéval en plein coeur de l'Arkansas. Un projet d'ampleur qui va durer au moins 20 ans, car il le bâtit avec les outils du 13ème siècle... Un reportage d'Elsa Haharfi et Mathias Denizo.

Enfants volés
L'affaire a ému le monde entier. Sur l'équivalent chinois du site Internet de vente eBay, une famille vient de déposer une annonce pour mettre aux enchères sa petite fille, un bébé d'un an et demi, photo à l'appui ! Mise à prix : moins de un euro. Raison invoquée : " Notre famille veut un garçon, la politique de l'enfant unique nous en empêche, alors nous avons décidé de vendre la petite fille ".
Dans cette Chine au milliard et demi d'habitants, les familles n'ont droit qu'à un enfant, sous peine d'être lourdement taxées. Alors, on préfère de loin accoucher d'un garçon. Dans les campagnes notamment, les fils assurent traditionnellement les vieux jours de leurs parents tandis que les filles, une fois mariées, appartiennent à leur belle famille. Un proverbe chinois dit même : " Il vaut mieux un garçon infirme que huit filles valides ".
En conséquence, des trafiquants d'enfants n'hésitent pas à voler des petits garçons, pour les revendre à des familles sans fils. Il y aurait ainsi  chaque année 70 000 garçons volés, soit 200 par jour !
Sun, Gao et sa femme Yini, ou encore Cuiping, tous, mères et pères d'enfants volés qui, désespérés, se mobilisent, collent des affiches, organisent des manifestations... Mais aussi Gensheng qui, lui, a acheté un petit garçon, 6000 euros, et en parle pour la première fois. En théorie, le trafic d'enfants est passible de la peine de mort mais dans la pratique, la police chinoise ne fait pas grand-chose pour arrêter les coupables. Ici, les autorités ne souhaitent surtout pas ébruiter un sujet qui ternit l'image du pays. Pire : ce sont les parents d'enfants volés qui sont traqués par la police politique, qui fait tout pour les décourager, allant jusqu'à les surveiller à leur domicile et les emmener devant nos yeux.

L'électron libre
Comique, acteur et réalisateur, Albert Dupontel s'est depuis longtemps fait remarquer par sa différence. Antisystème, radical exacerbé, agité, il ne cesse de déstabiliser. Les films auxquels il participe passent rarement inaperçus, on se souvient de " Bernie " ou encore " Irréversible " qui ont suscité de violentes critiques. Peu importe, s'il gravite systématiquement du côté de la réaction, il assume ses choix et ce qu'il est. Il se plaît à surprendre en s'improvisant, tour à tour, président de la République ou SDF délirant. Albert Dupontel semble être attiré par  des rôles où l'on ne l'attend pas, pour preuve le dernier film en date. Dans " Le bruit des glaçons " de Bertrand Blier, il incarne le cancer de Jean Dujardin, encore un rôle très insolite tout à fait compatible avec le côté décalé du personnage.
Dans un entretien accordé à Thierry Demaizière, il parle de l'homme qu'il est. Misanthrope, angoissé, agoraphobe, il parle aussi de son hypersensibilité et de son incapacité au bonheur. Conscient de ses frustrations et névroses, il tient aussi à parler de son père avec une fragilité surprenante. C'est le portrait de la semaine par Thierry Demaizière.


Crédit photo : Christophe Chevalin / TF1.

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