Par Jeremy
Ce dimanche à 22h45, Arnaud Poivre d'Arvor, avec la participation de Jean-Marc Bloch, présentera sur France 2 un nouveau numéro de "Non élucidé", un
magazine qui se propose de revenir sur ces enquêtes criminelles restées dans l'impasse. Chaque épisode raconte ainsi une affaire non résolue en revenant en détail sur toutes les zones d’ombre, en
pointant toutes les questions restées sans réponse dans l’espoir de rouvrir des pistes abandonnées voire de soulever de nouvelles hypothèses.
En étroite collaboration avec l'ensemble des protagonistes des affaires sélectionnées (services de police ou de gendarmerie, magistrats, avocats, parties civiles, etc.), "Non élucidé" décrypte
les différentes étapes de l’enquête criminelle permettant ainsi aux téléspectateurs de mettre leurs pas dans ceux des enquêteurs.
Le numéro de ce dimanche porte sur l’affaire Elodie Kulik : En octobre 2011, Arnaud Poivre d’Arvor consacrait un numéro de son émission Non Elucidé au meurtre jamais résolu
d'Élodie Kulik. Face aux derniers rebondissements de l'enquête, il revient sur cette affaire hors normes dans une émission spéciale.
Le soir du 10 janvier 2002, Elodie Kulik, une jeune femme de 24 ans, quitte l’agence bancaire qu’elle dirige à Péronne (Somme). Après avoir dîné avec un ami dans un restaurant de Saint-Quentin,
elle prend la route vers 23h. Cette nuit-là, il fait froid, la route est gelée et la conduite délicate à cause du brouillard. À 0h21, victime d’un accident, la jeune femme appelle les pompiers et
hurle « Au secours ! ». L’appel est brusquement interrompu.
Deux jours plus tard, un agriculteur découvre le corps de la jeune femme dans un champ à 6 kilomètres du lieu de l’accident. Elodie Kulik a été violée, étranglée puis brûlée.
Des prélèvements permettent d'isoler l’ADN de son violeur mais pendant dix ans, rien ne permet de l'identifier. L'affaire, dans l'impasse, est traitée en détail dans un numéro de Non élucidé en
octobre 2011.
Trois mois plus tard, en janvier 2012, l’enquête rebondit soudain. Les gendarmes parviennent à identifier le violeur, mais découvrent aussitôt que l’homme est mort en 2003 dans un accident de
voiture. Des recherches d'une envergure exceptionnelle permettent alors d’identifier ses fréquentations au moment du meurtre. Elles aboutissent, il y a quelques jours, à la mise en examen d'un
homme pour meurtre, viol et séquestration.
Crédit photo : France 2 / Eric Vernazobrès
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