Par Jeremy
Il y a un an, la planète a eu peur. Venue
du Mexique, celle que l’on appelait au début la grippe porcine, allait déferler sur l’espèce humaine, tuant notamment des jeunes en bonne santé ou des femmes enceintes. Les informations étaient
inquiétantes, les explications confuses. Sur les plateaux de télévision, les experts se bousculaient alors pour nous raconter le drame à venir, et les journaux de l’époque, ne parlaient que de
l’horreur future.
Pour ne pas mourir, il fallait absolument se laver les mains plusieurs fois par jour, éternuer dans sa manche, et surtout, se faire inoculer le nouveau vaccin trouvé, testé, approuvé et mis sur
le marché quasi simultanément par les plus grands laboratoires pharmaceutiques.
Par mesure de précaution, la France a dépensé sans compter, achetant 94 millions de doses de vaccins. Le montant total de la facture n’est même pas encore connu, mais il pourrait tourner autour
des 2 milliards.
Pourtant, au final, cette grippe A n'aura pas fait plus de victimes qu'une grippe saisonnière, anéantissant ainsi les discours alarmistes des politiques, et les prévisions noires de certains
experts.
Mais des questions importantes restent en suspend. Que s’est-il réellement passé en coulisse ? Comment ont été prises ces décisions ? Qui les a prises ? Quels intérêts étaient en jeu ? Les
experts étaient ils réellement indépendants. Avons-nous été manipulés, et par qui ?
Le mercredi 31 mars, Elise Lucet présentera sur France 3 un nouveau numéro de Pièces à Conviction qui a enquêté pendant plusieurs mois dans les coulisses de la pandémie.
Crédit photo : France 3 / Didier Triquet
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