Par Jeremy
Après avoir délocalisé son antenne à
Lille (14 & 15 octobre 2010) et Bordeaux le 26 novembre dernier, RTL2, la station pop-rock, poursuit son Tour de France en s'arrêtant à Rennes les jeudi 3 et vendredi
4 février !
Durant ces deux journées dans la plus grande ville de la région, les auditeurs rennais pourront assiter en direct aux deux émission phares de la station avec « Pop-Rock
Station By Zegut » le jeudi de 22h à minuit au Kenland (Place des Lices) avec entre autre une interview et un live d'Aaron et avec « Le grand morning » d'Aghathe Lecaron
et Christophe Nicolas le vendredi de 6h à 9h dans la brasserie "La Paix".
A cette occasion, le Zapping du PAF vous proposera un dispositif spécial avec des interviews, des photos mais également des vidéos ! Et on
commence dès aujourd'hui avec une interview d'Agathe Lecaron !
Vous êtes aux commandes avec Christophe Nicolas du morning pour la troisième saison, quelle est la recette du succès ?
C’est d’abord le fait qu’on s’entend bien. Ca, c’est incontournable surtout à cette heure car c’est compliqué pour nous de se lever donc on a intérêt à s’aimer et en plus on ne peut pas tricher.
Le fait d’être en quotidienne, s’il n’y avait pas une complicité entre nous, ça s’entendrait. Christophe Nicolas, c’est une vraie rencontre, une vraie amitié, c’est vraiment quelqu’un que
j’adore. Et je pense qu’on a créée aussi avec le temps des gimmicks car ce qu’on a peut-être en plus des autres matinales, c’est que c’est la troisième année et qu’on a su donc créer des vrais
rendez-vous, des vrais marqueurs et il y a quelque chose de familial dans ce morning si bien qu’on a pas envie d’aller ailleurs.
Après trois ans, il
n’y a pas de lassitude à se lever de bonne heure tous les matins ?
Franchement, c’est tellement difficile de travailler à ces horaires là que s’il y avait une lassitude, je ne continuerais pas. C’est tous les jours les mêmes personnes, le réveil qui sonne à 4h40
donc il faut y aller en chantant sinon c’est impossible. Il n’y a donc aucune lassitude mais ça viendra forcement parce qu’on est des humains mais j’ai de bons mois voire de belles années devant
moi avant que ça me gonfle.
Le vendredi 4 février prochain, vous serez à Rennes pour une émission spéciale. Qu’y aura-t-il au programme ?
La grande différence par rapport à une émission traditionnelle, c’est qu’il y aura du public. Jusqu’à présent, on est allé à Lille et à Bordeaux et dès 6h du matin on était étonné de voir des
salles remplies à craquer. Il y aura Julian Peretta qui sera là pour une interview exclusive et nous interpréter quelques titres en live mais aussi Miss France 2011 qui est bretonne. Et sinon, il
y a quelqu’un du public qui pourra braquer avec nous la banque en direct.
Lors d’émissions en public, y a-t-il plus d’appréhension que lors d’un direct en studio ?
C’est quand même un peu différent. Ce n’est pas de l’appréhension mails il y a une émulation, une enthousiasme et une excitation un peu plus important parce que forcement on a le regard des gens
et c’est assez troublant. Si on dit une bêtise, ça va être beaucoup plus réactif qu’à la radio par la force des choses. Du coup, on est encore plus stimulé et pour nous c’est formidable d’aller à
la rencontre des gens. C’est vraiment que positif.
Côté télévision, vous êtes aux
commandes de la seconde saison de Top Chef aux côtés de Stéphane Rotenberg, qu’est ce qui vous a plu dans ce programme ?
En tant que téléspectatrice, c’est déjà une émission qui me plaît donc c’est un privilège de présenter une émission qu’on aime car ce n’est pas toujours le cas. C’est une très belle émission de
M6, c’est un thème qui fédère, qui est positif et être associée à une si belle émission, c’est génial. Je n’ai même pas réfléchi deux secondes avant de dire oui.
Cette seconde saison sera-t-elle différente de la première ?
On ne change pas une équipe qui gagne donc on retrouve les mêmes jurés. En revanche, on a un niveau des candidats, d’après les chefs, qui est beaucoup plus élevé. Il va aussi y avoir des
plus avec des cadeaux supplémentaires après certaines épreuves comme un programme court pour un gagnant si bien qu’il pourra asseoir sa notoriété beaucoup plus vite, il y en a un qui va gagner
une épreuve et qui verra son plat distribué dès le lendemain chez un grand traiteur parisien… Il y a encore plus de tension, plus de pression pour les candidats.
Le tournage de cette saison 2 est achevé ?
On a tourné une grande partie des épisodes mais non le tournage n’est pas encore terminé. On ne sait pas encore qui est le gagnant ?
Avez-vous d’autres projets avec M6 ?
Pour le moment non mais Top Chef prend déjà une grosse partie de l’année. On va donc attendre de voir la fin de la diffusion pour voir ce qu’il va se passer. C’est déjà bien chargé.
Après la radio et la tv parlons un peu d’écriture, après le succès de « Lostory », planchez-vous sur un second roman ?
J’ai commencé un second roman mais c’est un gros chantier d’autant que quand on fait les matinales, on n’est pas toujours en forme. Et comme pour moi, écrire n’est pas un besoin absolu, il faut
donc se discipliner. J’ai aussi pour projet d’écrire un scénario pour un long-métrage. Je me fixe pas de dead-line, je terminerais quand je terminerais et du coup je prends mon temps et c’est ça
qui est agréable.
Que peut-on vous souhaiter pour cette année 2011 ?
D’avoir exactement la même chose que la fin d’année 2010, ça, ce serait parfait. Je suis contente d’avoir enfin trouvé un projet avec M6. Ca fait longtemps qu’on se cherchait et qu’on avait envie
de travailler ensemble. Je me sens comme un poisson dans l’eau dans cette chaîne qui est à l’écoute de ses animateurs, ce qui n’est pas toujours le cas, et c’est vraiment un rêve
professionnel.
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