Par Sarah
Ce soir dans Zone interdite sur M6 à 20h40 Claire
Basacq proposera un reportage consacré à Travail, fortune, réputation : ils ont tout perdu !
La plus grande peur des Français, c’est de se retrouver à la rue. Et cette angoisse touche désormais les plus favorisés, car la crise n’épargne personne. Nous avons suivi la brutale descente aux
enfers de plusieurs privilégiés. Notables, fortunés, diplômés, ils se croyaient à l’abri de la déchéance sociale. Aujourd’hui, leur vie a basculé et ils sont en train de tout perdre. Et plus ils
tombent de haut, plus ça fait mal. La tension ronge les couples et menace l’équilibre des enfants. Comment tenir le coup ? Faut-il sauver les apparences, assumer sa pauvreté ou tout tenter pour
rebondir ? A chacun sa manière de réagir…
Stéphane, la quarantaine, s’était lourdement endetté pour rénover un grand corps de ferme près de Chartres : un vrai cocon familial, récompense de sa carrière de trader. Mais son rêve s’est
écroulé : ruiné par la Bourse, pourchassé par les huissiers, il n’arrive ni à vendre sa maison, ni à retrouver du travail. Par fierté, il refuse de déposer un dossier de surendettement. Son
couple va-t-il résister ?
Au Havre, Benoît s’était créé un petit empire : usine, magasins, une centaine d’employés et des millions d’euros de chiffre d’affaires. Mais la crise a fauché sa réussite et la justice s’est
mêlée de ses affaires. En quelques mois, lâché par les banques, il va tout perdre, son statut de patron, sa fortune et sa réputation. Sa compagne et ses enfants vivent dans l’angoisse…
Christine, la cinquantaine, a divorcé il y a 8 ans. Depuis, elle attend de recevoir sa part de la villa avec piscine qu’elle partageait avec son époux près de Cassis. Mais il refuse de lui céder
cet argent. Elle qui avait une vie aisée se retrouve sans retraite, alors qu’elle a travaillé des années dans la société de son ex-mari. Obligée de faire des ménages pour payer le loyer de son
studio, finira-t-elle par obtenir gain de cause ?
A Bordeaux, Jean-Luc était un notable de l’univers du vin. Chômage, divorce et dépression l’ont conduit à la ruine. Son seul rayon de soleil : ses filles. Pour se rapprocher d’elles, il a pris la
gérance d’un petit bureau de tabac. Mais il est surqualifié pour ce commerce qui reste déficitaire malgré ses efforts. Isolé, en échec social, il se sent en bout de course.
Crédit photo : DR
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