Par Jeremy
Jusqu'au mois d'octobre, Bertrand Arthuys et Benoît d'Aubert tournent pour France 2 les huit épisodes de 52 minutes qui composeront la seconde saison de la série
policière Caïn dans laquelle on retrouvera Bruno Debrandt, Julie Delarme, Frédéric Pellegeay, Annue Suarez, Davy Sanna, Smadi Wolfman mais aussi Edouard Montoute, Claire Borotra, Eric
Berger…
Caïn, son humour noir et grinçant, son ironie mordante, électron libre, plus fasciné par les profondeurs de l’âme humaine dans laquelle il puise ses intuitions que par les résultats de la police
scientifique. Caïn, que son handicap libère de toute entrave, de toute convention…
Caïn qui défend sa vision de la justice, la quête de la vérité, sensible à la sincérité et à l'humanité qu’il peut y avoir dans chaque criminel.
Ce travail, il le fait toujours avec sa lieutenant Lucie Delambre. Pour elle, Caïn devient un peu trop prévisible et ses provocations ne marchent plus autant que dans la première saison. Lucie
sait maintenant le remettre à sa place, le « moucher » quand cela est nécessaire et le déstabiliser quand il va trop loin. Elle gagne en indépendance et sa vie sentimentale devient moins secrète,
ce qui va créer une tension avec Caïn. Elle n’apprécie toujours pas ses méthodes illégales. Elle reste arcboutée sur la procédure, même si elle doit bien admettre que Caïn, même perdu au milieu
d'un labyrinthe, finit toujours par trouver la sortie.
Avec cette nouvelle saison et une écriture plus tendue, les suspects deviennent beaucoup plus pervers, manipulateurs, dangereux pour Caïn et leurs victimes. Nous allons pouvoir basculer de
l'autre côté du miroir et entrer dans leur intimité, avec des intrigues policières où le thriller est omniprésent. Les épisodes deviennent des duels dont Caïn ne sortira pas toujours indemne.
Provocateur, espiègle, incisif, Caïn peut aussi se sentir coupable, avoir une attention, une écoute… lui-même peut avoir peur, peur de perdre les siens, peur de s’être trompé, peur de perdre sa
co-équipière, peur de perdre l’affection de son fils ou de sa femme…
Car maintenant Caïn va amener le danger au sein même de son foyer.
Caïn, son humour noir et grinçant, son ironie mordante, électron libre, plus fasciné par les profondeurs de l’âme humaine dans laquelle il puise ses intuitions que par les résultats de la police
scientifique. Caïn, que son handicap libère de toute entrave, de toute convention…
Caïn qui défend sa vision de la justice, la quête de la vérité, sensible à la sincérité et à l'humanité qu’il peut y avoir dans chaque criminel.
Ce travail, il le fait toujours avec sa lieutenant Lucie Delambre. Pour elle, Caïn devient un peu trop prévisible et ses provocations ne marchent plus autant que dans la première saison. Lucie
sait maintenant le remettre à sa place, le « moucher » quand cela est nécessaire et le déstabiliser quand il va trop loin. Elle gagne en indépendance et sa vie sentimentale devient moins secrète,
ce qui va créer une tension avec Caïn. Elle n’apprécie toujours pas ses méthodes illégales. Elle reste arcboutée sur la procédure, même si elle doit bien admettre que Caïn, même perdu au milieu
d'un labyrinthe, finit toujours par trouver la sortie.
Avec cette nouvelle saison et une écriture plus tendue, les suspects deviennent beaucoup plus pervers, manipulateurs, dangereux pour Caïn et leurs victimes. Nous allons pouvoir basculer de
l'autre côté du miroir et entrer dans leur intimité, avec des intrigues policières où le thriller est omniprésent. Les épisodes deviennent des duels dont Caïn ne sortira pas toujours indemne.
Provocateur, espiègle, incisif, Caïn peut aussi se sentir coupable, avoir une attention, une écoute… lui-même peut avoir peur, peur de perdre les siens, peur de s’être trompé, peur de perdre sa
co-équipière, peur de perdre l’affection de son fils ou de sa femme… Car maintenant Caïn va amener le danger au sein même de son foyer.
Crédit photo : François Lefebvre / FTV
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