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Pour la Semaine de la langue française, France 4 rediffuse deux documentaires issus de la collection « 21 jours »

Pour la Semaine de la langue française, France 4 rediffuse deux documentaires issus de la collection « 21 jours »

À l’occasion de la Semaine de la langue française et de la francophonie, France 4 propose deux documentaires issus de la collection « 21 jours », incarnée par Alexandra Alévêque. Pendant 21 jours, la journaliste est en immersion dans une classe de CP d’une école du Mans. Puis, nous la suivrons au sein de l’association Mots et Merveilles, qui reçoit chaque année quatre cents adultes venus réapprendre à manier les mots. Elle va partager et raconter, à la première personne. Carnets de bord engagés, récits à nu d’une adaptation et d’un apprentissage, ces films documentaires innovants saisissent la vie au plus près.

A 20h55 - « 21 jours » À l'école
Pour mesurer les difficultés du métier d’enseignant, la journaliste Alexandra Alévêque a repris le chemin de l’école. Durant 21 jours, elle s’est muée en professeure stagiaire dans un établissement du Mans, aux côtés d'Annabelle, prof de classe préparatoire. Face à elle, vingt enfants âgés de 6 ans, qui pour l’heure ont comme impératif de maîtriser deux fondements de notre apprentissage : la lecture et l’écriture. Des travaux pratiques (dans sa classe ou dans d’autres) aux sorties scolaires, des ateliers de lecture à la surveillance des récréations, Alexandra Alévêque a participé à toutes les étapes de la vie scolaire.

À 21h55 - « 21 jours » Au cœur de l'illettrisme
Elle est journaliste, a suivi une scolarité sans entraves et va partager le quotidien d'adultes illettrés. Pendant 21 jours, Alexandra Alévêque a été bénévole au sein de l'association Mots et Merveilles, à Aulnoye-Aymeries, dans le nord de la France. Durant son séjour, elle a rencontré des hommes et des femmes qui, pour diverses raisons, ont grandi sans avoir les connaissances de base en français et en mathématiques. Elle a animé des ateliers avec eux, fait des dictées, du calcul, et surtout écouté leur ressenti sur ce quotidien traumatisant, quand on n'est pas un adulte « comme les autres ».

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