Par Sarah
Aïda Touihri présentera ce dimanche à 17h20 un nouveau numéro du magazine "66 Minutes" sur M6 dont le sommaire sera le suivant :
Kev Adams, le clown des Ados
Il s’appelle Kev Adams, il a 19 ans et ses sketches font hurler de rire les adolescents. Au début de l’année, pendant deux mois, il a rempli la salle du Palais des Glaces à Paris. Les profs, les
parents, les potes, Internet, la puberté : dans son spectacle, il défriche une terre jusque là inexplorée par les comiques. Et ça cartonne auprès des teenagers. Certaines de ses répliques sont
même devenues cultes chez les lycéens : « Trop d’ski tue le ski », c’est la réponse qu’il fait à sa prof d’histoire qui le questionne sur… Léon Trotski ! Repéré par Anne Roumanoff il y a trois
ans après un petit rôle au cinéma et des castings sans lendemain, Kev Adams a été prié de passer « son bac d’abord » par ses parents avant de se jeter dans le grand bain du one-man-show. Portrait
de la nouvelle coqueluche des cours de récré.
Les Françaises folles de sacs à main
C’est devenu un accessoire de mode tout aussi indispensable que les chaussures à hauts talons ou les lunettes de soleil. Depuis quelques années, les sacs à main ont pris une grande place dans la
presse féminine, les podiums des défilés et dans la garde-robe de madame tout-le-monde. Ils sont souvent rebaptisés « it bag » (indispensable en français), ils valent entre 75 et plus de 3500
euros et toutes les grandes marques de prêt-à-porter en proposent. Pour certaines femmes, cela devient une vraie addiction comme pour Virginie, une cadre sup qui ne part pas à une réunion
importante sans un de ses sacs fétiches car l’accessoire lui donne confiance en elle. Pour les créateurs, cet engouement pour les sacs à main est une manne. Grâce à son fameux sac à paillettes
qu’elle vend partout dans le monde, Vanessa Bruno s’est fait un nom qui lui permet aussi de vendre une ligne de vêtements. Mais la rançon du succès pour ce nouvel objet du désir, c’est la
déferlante de la contrefaçon.
Ils vivent près d’une centrale nucléaire
Les événements dramatiques qui affectent le Japon depuis une semaine ont relancé en France le débat sur le nucléaire. Chaque année dans notre pays, de nombreux incidents se produisent dans les
centrales nucléaires. Le nombre d’anomalies officiellement déclarées a doublé en dix ans. En 2008 par exemple, la centrale de Tricastin, près d’Avignon, a connu une série de fuites radioactives.
Une équipe de 66 Minutes a enquêté à l’époque pour connaître les conditions de vie de ceux qui habitent près de la centrale. Tous disposent de pilules d’iode dans leur armoires à pharmacie, au
cas où.... Mais pour les riverains, le nucléaire est d’abord une bonne affaire : des emplois, et beaucoup d’argent pour les communes. Piscines, terrains de sports, équipement publics
flambant neufs. Le bonheur ? Au-delà de ces avantages matériels, certains s’inquiètent d’un manque de transparence sur les incidents à la centrale. Un salarié de Tricastin est décédé suite à des
radiations, sans que ni lui ni sa famille ne soient informés de l’origine de sa maladie.
Crédit photo : Jean-Philippe Robin / M6
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